凿壁偷光
Záo bì tōu guāng
Percer un trou pour profiter de la lumière
A l’époque de la dynastie des Hans Occidentaux, il y avait un
homme ayant beaucoup de connaissances qui s’appelait Kuang Heng. Quand il était petit, sa famille était très
pauvre, il n’y avait pas assez d’argent pour qu’il étudie, mais il aimait
beaucoup lire. Il profitait de chaque occasion et de chaque instant pour lire.
Dans la même ville, vivait une famille qui possédait beaucoup de livres. Kuang Heng voulut se faire engager comme homme à tout faire. Il ne cherchait pas à gagner de l’argent. Le maître trouvait cela étrange et lui demanda pourquoi ? Il répondit : « je veux simplement pouvoir lire vos livres ». Le maître fut ému par cette détermination à vouloir étudier. Il accepta de prendre le jeune homme.
Kuang Heng aimait vraiment lire le soir, mais sa famille était si pauvre qu’il n’y avait pas de lampe à l’huile. Il savait que dans la maison mitoyenne, les gens possédaient une lampe. Il creusa donc un trou dans le mur entre sa maison et celle de ses voisins. A travers le trou, un filet de lumière pouvait passer. Sans relâche, il persévéra à lire. C’est ainsi qu’il réussit au bout de quelques années à devenir très savant.
(Inspiré de « Il était une fois au pays des chengyu » Fei-Fei Chen et Claire Journiac)
Dans la même ville, vivait une famille qui possédait beaucoup de livres. Kuang Heng voulut se faire engager comme homme à tout faire. Il ne cherchait pas à gagner de l’argent. Le maître trouvait cela étrange et lui demanda pourquoi ? Il répondit : « je veux simplement pouvoir lire vos livres ». Le maître fut ému par cette détermination à vouloir étudier. Il accepta de prendre le jeune homme.
Kuang Heng aimait vraiment lire le soir, mais sa famille était si pauvre qu’il n’y avait pas de lampe à l’huile. Il savait que dans la maison mitoyenne, les gens possédaient une lampe. Il creusa donc un trou dans le mur entre sa maison et celle de ses voisins. A travers le trou, un filet de lumière pouvait passer. Sans relâche, il persévéra à lire. C’est ainsi qu’il réussit au bout de quelques années à devenir très savant.
(Inspiré de « Il était une fois au pays des chengyu » Fei-Fei Chen et Claire Journiac)
SENS :
Qui veut la fin, veut les moyens. On utilise ce chengyu pour dire qu’on peut
étudier même si on n’en a pas la possibilité, il existe toujours des solutions.
VOCABULAIRE :
凿
zuò creuser; percer
壁
bì mur; paroi; falaise; rempart
偷
tōu voler; dérober; chiper; furtivement; en cachette
光
guāng rayon (de lumière); brillant; gloire;
EXEMPLE D’UTILISATION :
学习是很艰苦的事,没有凿壁偷光,锲而不舍的精神是不行的
Xuéxí shì hěn jiānkǔ de shì, méiyǒu záo bì tōu guāng, qiè'érbùshě de jīngshén
shì bùxíng de
L'apprentissage est une chose très difficile, si tu ne perces pas un trou pour
profiter de la lumière, la persévérance ne suffira pas
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